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RECIT POUR MON FRERE. BAR MITZVA CHARLES. 1958. 17/21.

Publié le 30/10/2025 à 12:17 par rol-benzaken Tags : center image vie monde homme belle amis photos fille film

RECIT POUR MON FRERE. BAR MITZVA CHARLES. 1958. 17/21.
J’te vois encore quand t’es pas là
Quand il fait noir c’est encore pire
Y’a un vide quand je croise les bras
Y’a rien à faire, j’peux plus me mentir.

CHARLES SALOMON.

-Enfance à Rabat. -Jeunesse à Rabat.

ANNEE 1958.

LA BAR MITZVA DE CHARLES BENZAKEN ENTRE LA RUE HENRI POPP ET LE MELLAH DE RABAT EN 1958.

Souvenir en photos de la Bar mitzva du dimanche 7 septembre 1958 en soirée. 1958 à Rabat.

Suite:

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Les invités du dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

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Dans la salle des fêtes le dimanche 7 septembre 1958 en soirée.

Découpe de la pièce montée.

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Récit de ma bar mitzva à Rabat en 1958.

La Bar mitzva est un rite initiatique par lequel le jeune garçon juif marque sa majorité, en principe à 13 ans.

L’équivalent féminin est la Bat mitzva, cérémonie par laquelle la jeune fille juive atteint sa majorité religieuse, en principe à 12 ans. Souvenir de ma Bar mitzva en décembre 1958 à Rabat.

J'avais 13 ans. Mon rabbin qui me communiait habitait au Mellah où il officiait à la synagogue Chalom Zaoui et faisait du commerce de légumes et poulets et livrait les clients à domicile à bicyclette.

C’était un petit Rabbin, mais à mes yeux un grand personnage.
Pour la préparation de ma Bar mizvah, ma mère a fait venir un jeune professeur d’hébreu afin que j’apprenne à lire et écrire.

A ma Bar mitzva, nous avons fait une grande fête.
La cérémonie religieuse s’était déroulée à la synagogue Chalom Zaoui au Mellah.

Nous avons traversé toute la rue Henri Popp jusqu'au Mellah à la synagogue Rabbi Chalom Zaoui avec la famille et les amis de tout le Maroc.

Ce défilé était merveilleux, j’étais au milieu, à ma droite se tenait mon petit frère Roland, mon cousin Daniel Benharros à gauche.
Et tout le monde avançait au pas ralenti aux yeux des passants et automobilistes qui admiraient.

Au dessert de la cérémonie une belle pièce montée nous attendait, la fête s’est terminée vers deux heures du matin dans la grande salle des fête de l'Alliance.

Le lendemain, comme de coutume, je devais emmener et offrir à tous mes copains de mon âge voir un film au cinéma, j’avais choisi Le Royal.

Pour y aller, il fallait traverser le jardin du Triangle de Vue.
On y tournait un western ce jour-là.

Dans ce jardin, je m'en souviens, on m'offrit ma première cigarette.

La journée se termina et maintenant j’étais un homme pour tout le restant de ma vie.

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Cet ouvrage comporte 21 articles. 17/21.

A suivre pages suivantes...