Le cap Blanc ou Ras Nouadhibou est une péninsule d’une soixantaine de kilomètres, partagée entre la Mauritanie (à l’est) et le Sahara occidental (à l’ouest, sous contrôle marocain).

Sur le terrain en revanche on remarque la mainmise de la Mauritanie sur l’ensemble du Cap Blanc.

La baie du Lévrier sépare le cap Blanc de la côte principale.
La ville mauritanienne de Nouadhibou se trouve au nord-est du cap Blanc ; la ville sahraouie abandonnée de Lagouira se trouve au sud-ouest.

La frontière, qui suit approximativement la médiane du cap, a été tracée en 1900 pour départager les colonies française (Mauritanie,Afrique occidentale française) et espagnole (Río de Oro, Sahara espagnol).

C’est, avec les Îles Selvagens, le refuge d’une des deux seules colonies de phoque moine de Méditerranée de l’Atlantique Nord.

Le phare de Cap Blanc (connu aussi sous le nom de « Ras Nouadhibou » est situé à l’entrée de la Baie du Lévrier au Nord-Ouest de la côte d’Afrique en Mauritanie. La ville la plus proche est Nouadhibou (ex : Port-Étienne). Le phare est érigé à l’extrémité du Cap Blanc.

appelé aujourd’hui Râs Nouâdhibou, (anciennement Cap Blanc, et toujours Cabo Blanco pour sa partie marocaine). C’est une péninsule d’environ cinquante-six kilomètres de long, partagée entre la Mauritanie (à l’est) et le Maroc. Le phare a été privé de sa lanterne pendant de nombreuses années.

Il a été restauré en 2009 par une entreprise espagnole, La Maquinista Valenciana. Le Cap Blanc est une longue péninsule sablonneuse abritant la baie de Nouâdhibou, le seul port naturellement protégé de la côte mauritanienne.

La frontière nord de la Mauritanie s’étend au milieu de la péninsule. Le phare est situé près de la pointe de la péninsule, à quelques mètres seulement de la frontière internationale. Le site est ouvert au public ouvert, tour fermée.

Opérateur : Port Autonome de Nouadhibou.

Voici le phare qui date de 1910, il y a un musée à l’intérieur mais c’est malheureusement fermé.

Histoire

Le phare du Cap Blanc est un phare actif situé sur le Ras Nouadhibou (français : Cap Blanc) en Mauritanie. Construit en 1910, il est aujourd’hui situé à quelques mètres seulement de la frontière mauritanienne avec le Sahara occidental. Ces dernières années, le phare a été incorporé comme feu d’alignement arrière d’une paire de feux d’alignement. Une structure moderne en fibre de verre forme l’avant du champ de tir. Le phare sert de feu d’atterrissage pour le port de Nouadhibou. A quelques kilomètres au Nord-Est, près de Cansado, se trouve le phare de la Pointe de Cansado, construit en 1913.

Le cap a été doublé pour la première fois en 1441 par Nuno Tristão dans le cadre des expéditions lancées par Henri le Navigateur pour la circumnavigation de l’Afrique.

Sur le terrain en revanche on remarque la mainmise de la Mauritanie sur l’ensemble du râs Nouâdibhou. Le Dakhlet Nouadhibou, connu autrefois aussi sous le nom de baie du Lévrier, sépare le Cap Blanc de la côte principale.

La ville mauritanienne de Nouadhibou se trouve au nord du râs Nouâdhibou et s’ouvre sur le Dakhlet Nouâdhibou ; au sud-sud-ouest de cette cité se trouve la ville marocaine abandonnée de Lagouira.

La frontière, qui suit approximativement la médiane de la péninsule, a été tracée en 1900 pour départager les colonies française (Mauritanie, Afrique-Occidentale française) et espagnole (Río de Oro, Sahara espagnol).

Description technique

Construit en 1910. Ce phare est actif avec un plan focal à 43 mètres (141 pieds) ; Signal -> 1 éclat blanc toutes les 4 secondes. C’est une tour octogonale en maçonnerie de 20 mètres de hauteur (66 pieds) avec lanterne et galerie, montée sur une base carrée, peinte de bandes horizontales noires et blanches. Le dôme de la lanterne est peint en noir.

Non loin un bateau échoué.