>> Toutes les rubriques <<
· JUIFS DU MONDE. HISTOIRE. PERSONNAGES. (3333)
· ROIS.PRINCES.LA COUR ROYALE DU MAROC (261)
· JUIFS. CAMPS DE LA MORT. NAZIS. SHOAH. (2404)
· CÉLÉBRITÉS. COMÉDIENS. ARTISTES. (28)
· 1-RÉCIT D'UNE ENFANCE A RABAT. (219)
· TOUR DU MAROC EN 365 JOURS ET +.2013. (399)
· MELLAHS, ARTISANS ET VIE JUIVE AU MAROC. (253)
· CIMETIÈRES ET SAINTS JUIFS DU MAROC. (283)
· ROTHSCHILD. FAMILLES. DESCENDANCES. (448)
· ANNÉES 60. ANNÉES YEYE. (303)
Date de création : 28.02.2014
Dernière mise à jour :
22.12.2025
20065 articles
bonjour ,
je suis à la recherche du tombeau familial de la famille francis bataillard. la famille de ma grand
Par Anonyme, le 20.12.2025
l observatoire rue caumartin sydney y a mixé
Par Anonyme, le 08.12.2025
oui...au collège jean bart à grenoble....
Par Anonyme, le 06.12.2025
frequenté aussi fin des années 70 .pour info le navy club ex bal de la marinne, etait situé bd de l hopi
Par Anonyme, le 27.11.2025
très intéressant.. ..bravo pour la recherche
Par Anonyme, le 25.11.2025
· NABILLA BENATTIA.
· PRINCESSES ET PRINCES DU MAROC.
· LISTES DES PRÉNOMS HÉBRAÏQUES.
· PIERRES SUR LES TOMBES JUIVES ?
· LA CHANSON D'AUTREFOIS: TRABADJA LA MOUKERE.
· JEU DE NOTRE ENFANCE LA CARTE MAROCAINE: RONDA.
· ZAHIA DEHAR.
· PRINCESSE LALLA LATIFA HAMMOU DU MAROC.
· C’ÉTAIT LES DISCOTHÈQUES DE NOTRE JEUNESSE A PARIS.
· LES JUIFS CONNUS FRANCAIS.
· LA MAHIA EAU DE VIE MAROCAINE.
· LES FRERES ZEMMOUR. CRIMINELS JUIFS FRANCAIS.
· LE MARIAGE TRADITIONNEL AU MAROC.
· FEMMES INDIGÈNES POSANT NUES AU MAROC.
· LES EPOUSES DU ROI HASSAN II DU MAROC.
société sur vie moi france saint monde chez article femme travail mort histoire fille femmes nature annonce enfant livre center enfants coup cadeau bonne
Jean-Marie Loret
Né le 25 mars 1918 à Seboncourt (Aisne) et mort le 14 février 1985 à Saint-Quentin (Aisne), est un Français qui affirma être
le fils illégitime d’Adolf Hitler.
Selon lui, sa mère aurait eu une liaison avec le jeune soldat Hitler quand au cours de la Première Guerre mondiale, le régiment bavarois de celui-ci vint en repos dans le village de Fournes-en-Weppes (sud-ouest de Lille) alors à l'arrière du front.
La thèse, qui eut un certain écho médiatique, était défendue par l'historien allemand Werner Maser (1922-2007) qui avait émis dans les années 1960 la thèse d'un fils caché d'Adolf Hitler conçu en France durant la Première Guerre mondiale et avait ensuite, dans les années 1970, travaillé avec Jean-Marie Loret pour établir sa filiation. Cette thèse a été rejetée par ses confrères, notamment Anton Joachimsthaler, Timothy Ryback, Thomas Weber ou encore Ian Kershaw, qui jugent qu'elle est extrêmement improbable, voire qu'elle relève de la légende.
Jean-Marie Loret
Engagé en 1914 dans l'armée allemande, le caporal Adolf Hitler combat contre les troupes françaises près de Seboncourt en Picardie. De temps à autre, les soldats sont envoyés à l'arrière pour récupérer, reprendre des forces et parfois... s'amuser. À Fournes-en-Weppe, petite ville située à l'ouest de Lille, Hitler fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une jeune femme d'à peine 16 ans.
Biographie
Jean-Marie Loret nait, sous le nom de Jean-Marie Lobjoie, dans les derniers mois de la Première Guerre mondiale en mars 1918 à Seboncourt, un village picard du nord du département de l'Aisne. Enfant illégitime, sa mère Charlotte Eudoxie Alida Lobjoie (1898-1951) est la fille du boucher local, Louis Joseph Alfred Lobjoie et de son épouse Marie Flore Philomène (née Colpin).
Diverses sources attribuent à Charlotte Lobjoie la profession de danseuse, mais il est difficile de savoir si elle l'était déjà en 1916 et 1917. Elle semble n'avoir adopté cette profession qu'après son déménagement à Paris, quelques mois après la naissance de son enfant et après le retrait des Allemands du territoire français.
Jean-Marie passe ses sept premières années chez ses grands-parents, avec lesquels Charlotte avait rompu tout contact après avoir quitté sa famille. Le 22 mai 1922, elle épouse le lithographe Clément Loret, qui autorise le fils illégitime de sa nouvelle femme, qu'il n'a à ce moment-là encore jamais vu, à porter son nom de famille.
Jean-Marie Loret
Après la mort de ses grands-parents maternels, respectivement en 1925 et 1926, qui, selon les déclarations de Loret, l'avaient « mal traité », sa tante, Alice Lobjoie s'emploie pour faire adopter son neveu par la famille d'un riche magnat de la construction de Saint-Quentin, la famille Frizon. À partir de ce moment, le garçon fréquente deux pensionnats catholiques, d'abord à Cambrai puis à Saint-Quentin.
Jean-Marie Loret
En 1936, Jean-Marie Loret fait son service militaire et monte en grade les années suivantes, atteignant celui de sergent-chef. Il s'enrôle dès 1939 dans les corps francs qui allaient se battre en avant de la ligne Maginot. Les mois suivants, en 1940, son unité mène un combat violent contre les troupes allemandes dans les Ardennes. Pendant l'Occupation, il est contacté par le réseau de la Résistance OCM (Organisation civile et militaire) au sein duquel il porta le pseudo de Clément. Il devient un résistant aux armées hitlériennes.
Après guerre, il travaille quelques années dans les affaires jusqu'en 1948, où il cesse ses activités pour cause d'insolvabilité.

Loret précisa qu'il savait dès son enfance être le fils d'un soldat allemand mais qu'il n'avait aucune idée de l'identité de son père. Il affirma que peu de temps avant de mourir, sa mère en 1948 lui révéla que le soldat dont elle lui avait parlé aurait en fait été Adolf Hitler qu'elle aurait fréquenté entre 1914 et 1918. Loret affirma que cette annonce provoqua chez lui un grand abattement et qu'il se réfugia dans le travail pour éviter la dépression.
Dans les années 1970, alors qu’il a fondé une famille, il semble mieux accepter cette filiation (non-prouvée). En 1979, il fait alors mener des enquêtes pour faire officialiser ce (supposé) lien de parenté. Il contacte à cette fin un avocat, Maître François Gibault, s'adjoint les services d'un historien, l'universitaire allemand Werner Maser qui a travaillé dans les années 1960 sur une relation d'Hitler avec une Française pendant la Première Guerre mondiale, retourne sur les lieux de son enfance, interroge quelques rares témoins et diligente une série d'enquêtes qui plaideraient en faveur d'une parenté entre lui et Hitler.
Philippe Loret, 56 ans, pense être le petit-fils du dirigeant nazi Adolf Hitler. La croyance de Philippe a commencé lorsqu’il y a environ 40 ans, son défunt père a partagé le secret avec Philippe. Le père de Philippe, Jean-Marie Loret, a déclaré qu’il était le fils de la relation secrète d’Hitler avec sa mère, Charlotte Lobjoie, pendant la Première Guerre mondiale en 1917.
Quand il a entendu l’histoire, Philippe et ses six frères et sœurs n’ont pas su comment réagir. Lui et ses six frères et sœurs ont donc caché l’histoire pendant 40 ans. Il n’a jamais dit à personne qu’il était le petit-fils du dictateur le plus célèbre de l’histoire. C’était la première fois que Philippe parlait publiquement de son grand-père.

En 1981, il publie un livre, Ton père s'appelait… Adolf Hitler, pour revendiquer cette filiation. Dans la préface de l'ouvrage, il écrit : « Mon père est Adolf Hitler. Croyez-le ou non, ce point est sans importance. C'est un fait gênant, paraît-il, pour un peu tout le monde. Je crois, moi, en ma filiation, parce que je crois en ma mère. » Si le livre rencontre alors peu d'échos en France, au Japon, la télévision publique recevra Loret dans ses studios et le présentera comme le fils du dictateur allemand.
La vie familiale de Jean-Marie Loret reste peu connue. Il a été marié au moins une fois et a eu neuf enfants.
Un de ses fils Jean-Charles Loret, a accordé un entretien en février 2012 à L'Aisne nouvelle indiquant être en quête de vérité mais qu'il était difficile pour lui de remettre en cause la parole de sa grand-mère dite sur son lit de mort.
La liaison supposée entre Adolf Hitler et Charlotte Lobjoie.
Les informations sur cette liaison supposée ne viennent que de Jean-Marie Loret et de ce que sa mère lui aurait rapporté peu avant de mourir.
Dans un récit fait à Paris Match en novembre 1977, Jean-Marie Loret indique que sa mère Charlotte Lobjoie, alors jolie fille de 17 ans, quitte sa famille à Seboncourt pour se rendre chez des parents à Prémont. Ces derniers la voient fréquenter un « soldat allemand à petite moustache ».
Selon l'article du Point de 2012 s'appuyant sur l'ouvrage de Jean-Marie Loret, la rencontre se serait faite dans la commune voisine de Fournes-en-Weppes.
« Un jour, je faisais les foins, avec d'autres femmes, lorsqu'on vit un soldat allemand, installé de l'autre côté de la rue, révèle celle-ci à son fils bien des années plus tard. Il avait une sorte de carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu'il dessinait. Je suis désignée pour essayer de l'approcher. »
Elle indiqua qu'Hitler se montra attentif et chaleureux et ils entamèrent une relation de plusieurs semaines. Lorsque Hitler le pouvait, ils se promenaient ensemble :
« Lorsque ton père était là - très rarement -, il aimait m'emmener dans des promenades à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s'exprimer en français, il déclamait en allemand, s'adressant à un auditoire absent.
Si je parlais l'allemand, je ne pouvais le suivre, d'autant plus que l'histoire de la Prusse, de l'Autriche ou de la Bavière ne m'était pas familière, loin de là. Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires! »
Un soir de juin 1917, Hitler après avoir bu avec un camarade se fait très entreprenant auprès de Charlotte et la met enceinte. En mars de l'année suivante naît un fils. Aux yeux des enfants du village, le petit Jean-Marie est un "fils de Boche". Souvent, il fait le coup de poing avec ses camarades pour laver cette infamie. Les années passent, et Charlotte refuse de s'exprimer sur les mystérieuses circonstances de la naissance de son fils.
Pire, miséreuse et vaguement honteuse, elle délaisse son fils et le confie à la garde d'un couple plus aisé chez qui l'une de ses sœurs est employée. Cette "nouvelle famille" finira par adopter l'enfant en 1934. Son "vrai père" de son côté ne le reconnaît pas, refuse de le voir, mais continue de loin en loin à prendre des nouvelles de sa mère. Chose extraordinaire, au début des années vingt, sa famille d'adoption se retrouve propriétaire d'un immeuble à Francfort qu'elle ne paye pas...(cadeau de Adolf?)