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JACQUES MAJORELLE. 1886-1962.

Publié le 05/03/2015 à 12:10 par rol-benzaken Tags : background image centerblog histoire sur amoureux voyages maroc maison voyage texte place femme belle afrique vie jardin monde

Jacques Majorelle au Maroc.

Jacques Majorelle peignant.

 

 Les Orientalistes, Jacques Majorelle

Jacques Majorelle est né à Nancy en 1886 ; il est le fils du célèbre ébéniste Louis Majorelle, cofondateur de l’école de Nancy avec Émile Gallé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il tombe amoureux de Marrakech.

 

L'histoire débute en pleine mouvance romantique et orientaliste:Jacques Majorelle est un peintre fortement inspiré de ces contrées riches et encore inconnues, il va de voyages en voyages, sur le Nil, au Sud du Maroc.

 

Il installe une résidence et un jardin, le Jardin de Majorelle qu'il veut oriental sans cliché, authentique.

 

Il l'enrichit d'espèces rares comme certains cactus et yucas, nénuphars, certains jasmins et bougainvilliers...venant du monde entier.

Il continue à travailler sur ses ses œuvres et ouvre le jardin au public à partir de 1947.

Une anecdote: Churchill adorait ce jardin...

C’est en 1917, après avoir été démobilisé pour raison de santé, qu’il arrive au Maroc, invité par le Général Lyautey, proche ami de son père. Il fuit rapidement le climat humide de Casablanca et s’en va découvrir Marrakech, la ville-oasis dont les couleurs, la lumière et « les souks éclaboussant de vie féconde et heureuse » l’envoûtent immédiatement. Après en avoir fait, pendant quelques années, son point de départ pour de nombreux voyages en Afrique, il s’y installe définitivement, avec sa femme Andrée Longueville épousée en 1919, d’abord dans une petite maison de la médina non loin de la place Jemâa el Fna, puis au palais du pacha Ben Daoud.


 Jacques Majorelle (1886-1962) Marché à Marrakech, 1941.Après avoir commencé à peindre, dès 1917, des scènes de rue de la ville de Marrakech, des portraits également comme, en 1918, celui du Glaoui, entre 1919 et 1930, Jacques Majorelle accomplit huit grands voyages dans le sud du Maroc qui lui donnent les thèmes de ses peintures de villages ou de souks et précèdent la publication d’un album sur les casbahs. Le carnet de route de son voyage de 1922 sera le seul texte qu’il publiera, sous le titre « Jacques Majorelle, Carnet de route d’un Peintre dans l’Atlas et l’Anti-Atlas ».

La belle Zorah.1955.

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1921.image

jeune femme de goulimine.

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jeune femme.

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jeune femme.

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La Femme aux Bijoux.

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Le retour de la Fantasia.

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Marché a Marrakech 1950.

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La kasbah rouge.

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Commentaires (2)

Anonyme le 07/06/2019
Belle découverte, je ne connaissais pas ce peintre Merci


Anonyme le 28/07/2019
Lahcen


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