RECIT DE MES SOUVENIRS DE VIE. J'AI 5 ANS EN 1954.

12 mars 1954, je fête mes 5 ans à Rabat (Maroc).

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 Je fais ma première rentrée en CP 1954-1955 à l'école de Pau à Rabat

Je vous présente ma classe, je suis en bas à gauche.

J'ai fréquenté l'école de P A U à RABAT dans les années 1954 à 1960 , quartier de la Tour Hassan et du Chellah, rue Henri POPP et Capitaine Petit Jean.

Le directeur était Monsieur Filliot.

On y enseignait la langue française uniquement.

Tous les enseignants étaient français et venaient de la métropole.

J’y ai passé mon CP , CE1 , CE2 , CM1 , CM2 avec succès.

La rentrée juste après les grandes vacances.
je n'avais pas hâte d'aller à l'école, j'étais stressé, mais j'ai pensé à mes copains,
et leur raconter mes superbes vacances, et aussi pour découvrir la nouvelle maîtresse.
je suis content de ma classe.
La veille de la rentrée, j'avais du mal à dormir. j'avais peur de ne pas avoir d'amis.
Pour dormir, j'ai pensé aux moments tristes de ma vie et à tous les moments de joies.
Je n'avais pas trop peur car cette maîtresse je l'aime bien.
Par contre je n'ai pas trop dormi la veille.
Après deux mois de vacances, ça fait bizarre d'aller à l'école pour la première fois.
La rentrée s'est très bien passée.
J'espère que toute l'année sera comme ça.

j'étais content de retourner à l'école parce que les vacances, c'est bien, mais au bout d'un moment, on s'ennuie.

le jour de la rentrée, je me sentais bien, on était pressé, mais c'était dur, même si "j'ai déjà fait plusieurs rentrées".

Pourquoi on veut apprendre à lire?

pour acheter des livres et des magasines,

pour lire des histoires à ma petite sœur,

pour fabriquer des choses,

pour lire des livres à la bibliothèque,

pour lire des recettes et faire des gâteaux.

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C'était mon premier jour d'école à l'école de Pau de la rue de Pau à Rabat.

C'était en 1954, j'avais 5 ans.

Année scolaire 1er octobre 1954 -30 juin 1955.

Je me souviens de l’école de la rue de Pau à Rabat au Maroc en 1954.

Il y avait des vélos, des trottinettes, des enfants qui n’arrêtaient pas de m’embêter.

Un jour, j’ai jeté du sable dans le visage d’une petite fille et j’ai été puni.

En classe, ma maîtresse me racontait des histoires tous les jours.

Mais ma préférée était celle dans laquelle on ne voyait pas les images.

Il fallait prendre une lampe spéciale (un néon je crois) pour voir les dessins apparaître.

Elle était vraiment bien !

Mon Cours Préparatoire.

Je me souviens de mon premier CP.

J’étais très content de voir cette nouvelle école de Pau à Rabat.

Dans la classe, j’ai retrouvé des amis qui jouaient avec moi dans mon quartier de la rue Henri Popp et Capitaine Petit Jean.

Ma première journée à l’école e Pau.

Je me souviens de ma première journée d’école.

 
En classe, il y avait des élèves que je connaissais et que je ne connaissais pas.

J’étais en CP.

La maîtresse s’est présentée puis tous les élèves se sont aussi présentés.

Dans la classe je me suis assis à droite.

J’ai regardé la maîtresse et les autres enfants.

Ils avaient l’air gentils et je me suis vite fait de nouveaux amis.Mon premier jour d’école

Je me souviens de ma première journée à l’école de Pau à Rabat.

C’était la première fois que je venais à l’école.

J’avais un peu peur même si ma maîtresse était très gentille.

Dans la classe, je me suis assis à droite.

Nous avons commencé par faire une dictée.

Il fallait copier les mots trois fois pour se préparer à la dictée du lendemain.

C’était difficile mais cela m’a beaucoup plu.

Avec ceux de la rentrée inaugurale, nous avons couru ensemble dans cette cour de récréation, je me souviens de nos jeux d'enfants, les billes, les toupies, les noyaux d'abricots.

Je me souviens d'avoir mangé des abricots plus que de raison juste pour collectionner leurs précieux noyaux...

Nous en faisions parfois des sifflets :

nous frottions une face du noyau  sur l'aspérité d'un mur de ciment jusqu'à y faire un trou circulaire.

Après avoir vidé l'amande, nous soufflions en posant notre lèvre inférieure de bambin au bord de l'orifice.

Aujourd'hui, c'est jeudi, pas de cris dans la cour, pas de courses folles, pas d'écoliers, juste le souvenir lointain de ce que nous avons été...